Soins énergétiques
Quelques cas marquants qui nous parlent de nous
Dans ma pratique de thérapie énergétique, j’ai eu l’éclairage, s’il en était, de l’efficacité de l’énergie pour accéder aux maux engrammés dans le tissu cellulaire, dans les corps subtils, dans les corps d’énergie, bien invisible au conscient et sous de multiples couches de l’inconscient. Même si dans la majorité des cas, nous arrivons ensemble à décapsuler ce qui ne va pas, il y a aussi pour certains, des choses bien plus enfouies qui se révèlent pendant une séance.
Événement traumatique refoulé
J’ai reçu un monsieur assez âgé, le papa de quelqu’un qui venait régulièrement nettoyer les tensions, les difficultés accumulées dans sa vie professionnelle. Son père était de passage en France. Celui-ci parlant assez mal le français (il est Serbe), son jeune fils m’expliqua que son père avait régulièrement la respiration coupé. Cela se bloquait d’un coup, n’importe ou, avec une impossibilité de respirer effrayante. Puis cela repartait comme c’était venu. Ce n’était pas un asthme selon son médecin.
J’effectuais une séance et alors que j’étais dans le nettoyage des chakras, j’eus la vision de ce monsieur dans une scène de guerre, des corps à terre autour de lui, lui au centre complètement abasourdi, hébété.
Je nettoyais les densités qui se présentaient, liées à cet événement. Ce monsieur nous partagea, à son fils et moi, qu’il s’était retrouvé en 91 pris dans une fusillade en Croatie, pendant la période de guerre. Il n’en avait jamais parlé, à cet époque, son fils était étudiant à Paris. Jusqu’au moment ou son corps refusa de refouler d’avantage cette expérience dramatique.
Les blocages de la respiration disparurent suite à cette séance.
Héritage transgénérationel invalidant
Kenza présentait plusieurs difficultés dans sa vie. Elle était dans une voie professionnelle qui ne lui convenait pas depuis toujours et elle rencontrait des difficultés dans sa vie personnelle, étant très autoritaire avec son compagnon.
Il s’est révélé pendant la séance de thérapie énergétique qu’elle portait l’histoire de sa grand mère maternelle, une femme, devenu chef de village au décès de son mari, et qui se dévoua complètement à cette mission, ne laissant rien passer pour réussir, ce qui l’obligeait à refouler des peurs et la rendait intransigeante et dure. La maman de Kenza fut élevée dans cette matriarchie sans concession, ou la peur des dangers était sous-jacente et maitrisée par l’autorité, la contrainte…
Elle le reproduisit arrivée en France, en partie, dans l’éducation de ses enfants. C’est ainsi que Kenza se retrouva dans sa vie professionnelle responsable d’un collectif, bien loin de ses aspirations personnelles. Vivant avec un homme très artiste, elle cachait les peurs que la personnalité peu prévoyante de celui-ci, faisait émerger en elle, par des réactions de pressions et d’autoritarisme qui dégradait la relation. Mettre en lumière, conscientiser et nettoyer cette mémoire, permirent à Kenza de se libérer de ce moule et d’aller vers un nouvel équilibre plus en accord avec son être.
L’inconnu d’une naissance
Un jour une maman consulta avec sa fille Elsa, âgée de 10 ans. Elsa parlait beaucoup de la mort, cela devenait presque obsessionnel dans son questionnement, alors qu’aucune situation dans la famille ne soit à l’origine de cette anxiété.
Au cours de la séance, j’ai reçu l’information que 2 embryons se trouvaient au départ dans la même poche. Un seul continua son développement. Aucun signe clinique ne permettait de supposer cette perte, sauf beaucoup de cas de gémellité du côté du papa.
Le nettoyage dans la thérapie énergétique, la conscientisation permirent de mettre des mots sur l’absence, sur l’anxiété et réparer cet oubli…
S’éteindre à sa vie
Marianne rencontra pendant ses études de médecine son mari. Durant la troisième année elle se retrouva enceinte de leur premier enfant. Très rapidement ne pouvant plus suivre correctement ses études, elle ne vit d’autre solution que de bifurquer vers infirmière, à son grand regret. Le temps passa vite avec 3 enfants.
Puis un jour, les enfants sont autonomes, dans leurs études, la maison est souvent vide et Marianne a plus de temps pour penser sa vie. Elle a toujours le regret de ne pas avoir été au bout de son rêve, devenir médecin. Quand un ami professeur de son service, trouvant qu’elle avait perdu sa flamme et semblait petit à petit plonger dans une neurasthénie inquiétante, lui proposa une reprise de ses études. C’est lui qui serait son superviseur, il y avait une possibilité…
Elle n’arrivait pas à prendre sa décision. Peur de ne pas y arriver, culpabilisation de donner du travail à son superviseur, culpabilisation de ne plus avoir de temps pour sa famille, pour faire tout ce qu’elle faisait dans la maison, pour ses enfants, son mari…
Par une thérapie énergétique, nous avons pu faire un travail de libération de son sacrifice. Marianne n’a finalement pas repris ses études. Elle s’est retrouvé petit à petit, s’autorisant à mettre des limites aux autres, à prendre du temps pour elle. Elle a pu faire une évolution choisit de sa carrière. Elle n’est plus la Marianne qui n’existe que pour et au travers des autres. Elle ne subit plus les situations et avance dans sa vie plus sereine.
Gratitude à chacun de vous pour votre confiance et les enseignements reçus par votre vécu.