Rompre avec ses peurs
Atelier de déprogrammation émotionnelle
Capturer le personnage qui nous retient prisonnier de nos peurs.
S’en libérer, pour être pleinement soi, en confiance.
* Définition du mot peur : la peur est un sentiment d’angoisse, éprouvé en présence ou à la pensée d’un danger, réel ou supposé.La peur est aussi un signe d’alerte salvateur. Ressentir et reconnaître sa peur permet de faire face à une menace en conscience et de façon optimale.
« Ne laisse pas ton bonheur et tes rêves t’échapper à cause de tes peurs ! »
La peur
On dit qu’avant d’entrer dans la mer,
une rivière tremble de peur.
Elle regarde en arrière le chemin
qu’elle a parcouru, depuis les sommets,
les montagnes, la longue route sinueuse
qui traverse des forêts et des villages,
et voit devant elle un océan si vaste
qu’y pénétrer ne parait rien d’autre
que devoir disparaître à jamais.
Mais il n’y a pas d’autre moyen.
La rivière ne peut pas revenir en arrière.
Personne ne peut revenir en arrière.
Revenir en arrière est impossible dans l’existence.
La rivière a besoin de prendre le risque
et d’entrer dans l’océan.
Ce n’est qu’en entrant dans l’océan
que la peur disparaîtra,
parce que c’est alors seulement
que la rivière saura qu’il ne s’agit pas
de disparaître dans l’océan,
mais de devenir océan.
Khalil Gibran – Cf. Le prophète
Eléments pratiques de l’atelier Rompre avec ses peurs :
Adresse : « Au 7 », 7 rue saint Valéry, 95160 Montmorency
Coût : 35 €
Durée : 3 heures
Sans pré-requis
dominique.arthuis@gmail.com
Tél : 06 11 62 90 44
Lien de mon article L’amour ou la peur ? ICI
Atelier Rompre avec ses peurs
Quelle plus belle introduction que ce texte de Khalil Gibran pour vous parler de cet atelier pour rompre avec ses peurs. Nous avons tous énormément de peurs, conscientes et inconscientes. Elles contrôlent nos gestes, notre voix, notre façon de penser, d’avancer…
Il y a les peurs dues à des circonstances (prendre l’avion, peur des serpents…) et il y a les peurs plus essentielles, plus profondes (peur du jugement, peur de ne pas être aimé, peur d’être ridicule, peur d’être humilié, peur d’être écrasé, peur du vide, peur de mourir…).
Si on ne fait pas un travail pour limiter l’impacte sur notre construction personnelle, elles deviennent une croyance, une conviction profonde. On se crée alors, une personnalité qui semble nous protéger d’un système de jugement de soi par soi, où par l’autre.
Quelle est ma peur ? Quel est le personnage que j’ai forgé pour contrôler ma peur ?
Ce personnage qui semblait au départ nous protéger, devient notre geôlier. Nous sommes toujours en dépendance de nos peurs. Cela constitue la perte de reconnaissance de notre puissance réelle à être pleinement qui « je, est réellement ».
Déroulement de l’atelier
Outils : se mettre dans un autre état de conscience.
Par la relaxation, la méditation, la musique, les bains sonores, la création (écriture, peinture…). Le travail se fera dans le noir ou la lumière, dessin à la cire d’une bougie.
Préambule
Pour plonger dans la source de nos peurs, nous nous mettrons dans un état de détente, un état méditatif, une bulle de protection. Un état de conscience propice, qui nous rend présent à nous même en confiance, dans l’ici et maintenant.
Nous ferons un travail d’ouverture, de libération des tensions, par le mouvements du corps. Libérant ainsi l’accès aux émotions qui portent nos peurs.
Déroulement
Après avoir convié nos émotions de peurs par une guidance, nous les laisserons venir à nous sans chercher, sans filtre. Nous mettrons en conscience individuellement la liste de nos peurs sur une feuille.
Il sera temps de choisir trois couleurs (en peinture) qui caractérisent pour nous les émotions de peurs.
Alors nous traduirons dans le noir, le personnage de nos peurs, par un dessin à la cire d’une bougie.
Toujours dans le noir, nous accueillerons nos peurs par des tracés intuitifs de couleurs, la danse de nos peurs avec le personnage. Laisser partir chaque peur dans ces liens de couleurs, désamorcer les liens qui nous retenaient à l’autre personnage. La distance se trace… Les contraintes s’éloignent.
Retour à la lumière et observation du personnage de nos peurs. On peut lui donner un nom qui le qualifie…
Dialogue en conscience avec le personnage, on doit l’entendre. il y a eu le temps du bénéfice avec lui (la protection), puis le temps de l’inconfort avec lui… On se libère de son omniprésence…
Méditation de déprogrammation…
Vient le temps d’un nouvel acte, ou librement nous définissons sur une nouvelle feuille les émotions nouvelles qui se trouve à nouveau libre d’être.
On prend un nouveau chemin en conscience. Un nouveau personnage se dessine…
D’autres lumières le racontent, d’autres couleurs, de belles émotions s’écrivent en nous, je vais vers ma dimension créatrice de qui je choisis d’être… Méditation de reprogrammation…
Je laisse apparaitre un nouvel allié, moi.
J’entre dans une nouvelle paix intérieure.